Jusqu'au bout de mes rêves.

Jusqu'au bout de mes rêves.

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En route pour le Népal.

1er jour.

Direction le Népal

Direction le Népal

Un regard, un sourire, un mouvement, un souffle de vent dans les cheveux, je n’en demande pas plus. J’emmène un de mes repères, je vais partager un moment de sa vie, j’avance, car je sais ces moments éphémères et le temps compte ces moments de leurs présences. Alors, je profite  de chaque seconde, de chaque moment qu’elles m’offrent. Il n’y a jamais assez de souvenirs pour remplir mon passé, il n’y a que meilleur moment que mon présent, mon futur, je leur offre, car elles sont mes muses, elles sont l'espoir d’une vie réussie. 

 Notre hublot nous offre un dernier coucher de soleil sur nos repaires, notre avion prend de la vitesse avec l’espoir d’un voyage qui nous fera une belle histoire à raconter et qui sera riche en émotions. 

Je vais lui offrir ce que j’ai de mieux, même si rien n’est facile, je ferai de mon mieux, elle me donnera peut-être la force d’entendre son époque, en espérant qu'elle me laisse une place dans son présent. 

Alors, le Népal nous voilà, tu seras notre décor, nous allons y accrocher ce moment de vie et une nouvelle aventure, nous allons y emporter les mystères d’un monde si différent du nôtre. 

Allez, partons vite pour cette nouvelle aventure, je passe ma main dans mes cheveux, je fronce les sourcils, je regarde l’horizon à la recherche de l’aventure, pas le temps de chercher elle m’a trouvé, bip bip, fait le bruit de mon whatsapp fraîchement remis en service par une wifi piquée à un portable non sécurisé. Ok Google Charlotte traduction rentre en action, le message dit « sac bloqué pour cause d’objet interdit en soute à l’aéroport de New Delhi », l’aventure commence plus vite que prévu. 

Après, une hôtesse, un chef, un responsable, cinq sous chef, nous voilà dans les coulisses de l’aéroport, nos sacs réapparaissent sur un bureau, le verdict tombe, vous avez un briquet, après une fouille en règle, 3 vieilles piles d’un volt cinq me seront confisquées, et le mystérieux briquet jamais trouvé. Même punition pour Charlotte, 3 piles d’un volt cinq. Beaucoup de bruit pour pas grand-chose. 

Mais un chef peut en cacher un autre, au moment de l’embarquement, donc, 20 mn avant la fermeture, nos billets sont invalides pour cause de bagages non conformes, donc rebelote retour à grandes enjambées dans les coulisses de ce foutu aéroport, notre premier chef croise le nouveau petit chef, me voit, fait des grands gestes, baragouine sur un ton que tout est ok pour nous, donc retour à l’envoyeur. 

Katmandou, nous voilà…

C'est parti.

Notre horizon sera les rues encombrées de cacophonie de klaxon, d’encombrement de moto, de véhicules qui ont dû dépasser les 500 000 km, de l’incohérence du code de la route et d’odeurs d’épices, de cumin, de cannelle et d’encens. Il va falloir trouver sa place dans ce kaléidoscope d’odeurs et de mouvement trop bruyant et trop de gesticulations mécaniques, alors, place au culot et à notre bonne étoile.  

Après avoir pris une bonne inspiration, nous plongeons dans les rues de Katmandou, direction Durbar Square. Sous la lourdeur de cette fin de mousson, nous déambulons dans cette ancienne sitée royal ou temples, cours et palais se suivent, nous sommes témoins de ces dévotions qui attirent notre curiosité, ces couleurs orange de colliers de fleurs de souci, ces bougies qui scintillent et de ces cloches qui carillonnent pour envoyer les prières dans le vent. Les chiens non-chalant et les pigeons trouvent leur place dans cette cohue qui désorganise notre conscience.

On finira par s’habituer à ce désordre en prenant la direction de Swayambunath. Nous ne manquerons pas de faire une pause dans une de ces gargotes si appréciées dans la famille. 

Après un festin de 4 € pour nous deux, nous nous replongeons dans la cohue.

Swayambunath se mérite, il nous faudra escalader 365 marches (merci Google) pour accéder au Stupa, mais il ne faudra pas regarder les singes dans les yeux et bien faire attention de laisser le Stupa à notre droite sous peine d’un karma que l’on ne souhaiterait pas à sa belle-mère.  

Rouge et au bout de la panne d’oxygène, plus léger de notre fierté et de notre énergie que nous avons perdu autour de la 180 ème marche. Après avoir repris nos émotions, nous rassemblons nos prières ( ou vœux) et tournons les moulins à prières que nous partageons avec les Népalais. Nous ouvrons les yeux, nos principes se heurtent, l’émotion n’est pas loin au croisement d’un enfant qui nous regarde d’un regard curieux et attendrissant, c’est vrai que l’on ne va pas dans le décor. Les sarïs de couleur flamboyante des femmes ensoleillent le décor et invite à la photographie. Nous ferons le tour de ce pays imaginaire et prendrons le chemin du retour. Nous reprenons le chemin de notre hôtel, le reste n’est qu’instinct de survie et bonne bière en guise de carotte.

Katmandou jour 2.

Ce soir tranquille, il faut dire que la journée a été chaudement hot, après une meilleure nuit, un correct petit déjeuner et un briefing sur un coin de table, nous prenons un taxi qui nous déposera au Stupa Budhha, temple bouddhiste avec son imposant dôme blanc, Stupa qui a donné naissance aux origines du bouddhisme tibétain. La chaleur est déjà bien présente et les places à l’ombre sont chères, nous faisons le tour de cet imposant Stupa en le gardant bien à notre droite comme la tradition oblige, l’endroit est toujours aussi impressionnant, en haut les yeux du budhha nous regardent, il faut dire qu’il voit tout, entend tout, mais ne dis rien. Le tour n’a pas été simple (je parle de Charlotte) pour tout le monde, rester à la gauche du Stupa en évitant les milliers de pigeons qui lui bloquaient le chemin, à droite le paradis Boudhhiste à gauche le cauchemar d’une ré-incarnation en volatile. Elle n’est peut-être que la ré-incarnation humaine d’un volatile qui a fini sa vie dans l’assiette d’un suceur d’os. Dans tous les cas « personnage curieux et étrange… ». 

Bref, continuons notre visite, nous avons assisté à une cérémonie religieuse fort intéressante. Des Bonzes en tête de cortège jouaient une cacophonie de différents instruments de musique typiques du pays, derrière des femmes déroulées un grand drap blanc sur plusieurs dizaines de mètres, des encens dans les mains inondées l’endroit d’une spiritualité envoûtante. Après avoir été le témoin de cette cérémonie, nous quittons Stupa Budhha, direction Pashupatinath, Dans cette fin de matinée la chaleur est déjà bien présente, la poussière, le bruit n’aidant en rien à notre moiteur qui ne va pas nous quitter de la journée. Notre carte nous fait traverser des  quartiers populaires, ou nous aurons la chance d’y trouver une petite gargote délicieuse. 

Pashupatinath est un temple indou se trouvent sur le bord de la rivière sacrée Bagmati, l’endroit est rempli de spiritualité, baignée dans une légère fumée qui vient des crémations, car nous sommes dans un complexe les plus importants d’Asie du Sud, ici, les temples sont considérés comme des lieux de pèlerinages sacrés de l’hindouisme. Nous déambulons entre les temples, observons la purification du corps du défunt, par les membres de la famille au bord de la rivière, puis le corp est déposé sur un bûcher, lorsque le corps est à l’état de cendres, ces dernières sont versées dans la rivière pour que l’âme puisse continuer son chemin. 

La chaleur aura raison de notre curiosité, sortis du complexe religieux, nous trouvons un taxi qui nous déposera à notre hôtel, fourbu et transpirant, nous prendrons une pause bien méritée en dégustant une limonade à la menthe bien fraîche faite maison. Demain, bus direction Chitwan pour de nouvelles aventures.

Direction Chitwan.

C’est vrai que la photo du bus vendait du rêve, mais après 6 heures assis dans ce bus, notre regard sur la pub a changé. Siège fatigué et cassé. Mais, ne nous étalons pas sur les aléas du voyage. 

Chitwan est aux frontières de l’Inde, notre destination finale et l’une des dernières zones encore préservées. Réserve naturelle du Népal, où subsistent les derniers rhinocéros gris d’Asie à une corne et les fameux tigres du Bengale. Nous sommes ici pour quelques jours, au programme randonnée et petit safari à dos d’éléphant. Bien installés au balcon de notre hôtel, nous pouvons admirer en cette fin de journée un paysage grandiose, une végétation luxuriante et en toile de fond les premiers contreforts de l’Himalaya. La rivière nous offre un spectacle incroyable, des éléphants viennent se rafraîchir avec leurs cornacs ou un rhinocéros vient se baigner de longues heures, les crocodiles viennent s’échouer le temps d’une longue sieste et tout cela naturellement, comme si depuis la nuit des temps le temps était resté le même.

Après une bonne nuit et encore un réveil tôt, un petit déjeuner fini sur le chemin, nous arrivons à 7h au point de rendez-vous avec nos guides. Formalités administratives terminées, nous embarquons sur une pirogue en bois, moyen de transport idéal pour s’immerger au cœur de la jungle. Nous sommes accompagnés par deux guides assermentés et obligatoires, l’un va ouvrir la marche, l’autre la fermera. 

Mais avant de s’immerger dans la jungle, une fois débarqué sur la berge après 2h de pirogue, notre guide nous indiquera les règles à suivre en cas de rencontre avec des animaux potentiellement dangereux. 

Ce qui est important à signaler, c’est qu’en cette saison de fin de mousson, le temps est à l’orage et la température flirt avec les 37 degrés et que l’humidité dans la jungle est de 100 %. Même sans bouger, on transpire toute l’eau de notre corps. Les premiers pas nous font traverser des forêts abondantes, une végétation verdoyante et une faune visible et le plus souvent invisible. Le bruit est celui que l’on peut s’imaginer dans un tel endroit, bruyant, rempli de cris d’oiseaux, de singes et d’animaux inconnus. Nous marcherons toute la journée, dégoulinant de sueur, ferons des pauses de quelques minutes à plusieurs heures (dû à une température trop élevée). Nous rentrerons juste avant le coucher du soleil, fourbu, transpirant les dernières gouttes de notre corps, mais satisfait de cette journée difficile mais accomplie.

Safari à dos d'éléphant.

Aujourd'hui repos. Seule activité de la journée, hormis un peu de repos, un petit safari de 2 heures à dos d'éléphant. Charlotte a fait quelques emplettes et j'ai mis à jour mon site. Bref, une journée ordinaire.

Direction randonnée 1 jour.

Les jours passent, mais ne se ressemblent pas, nous quittons Chitwan avec un petit regret. L'endroit était tellement calme et reposant, notre regard croisait souvent l’insolite, l’hôtel était incroyable par son emplacement et la gentillesse du personnel. Mais il faut aller de l’avant, donc nous revoilà dans un bus pour cinq heures direction Pokhara. 

Pokhara est l’une des trois plus grandes villes du Népal, donc ça bouge, ça fait du bruit. Depuis ma dernière venue, le changement est frappant, un hôtel tous les cinquante mètres, un vendeur de contrefaçon North face tous les vingts mètres, des boutiques à souvenirs à plus savoir quoi acheter, l’usine à touristes. 

Nous déposons nos sacs à dos dans un petit hôtel sans prétention, 45 € les cinq nuits, nous réservons notre trek pour trois jours.  Le lendemain, repos pour Charlotte et massage, pour moi, achat du matériel qui nous manque pour le trek, notamment des vêtements de pluie, car la mousson a démarré en retard, ce qui fait qu’au lieu d’être à la fin, nous sommes en plein dedans. Donc, beaucoup de pluie et lourde chaleur.

 Sept heures du matin, équipés, nous sommes devant l’agence, notre guide nous y attend. Nous prenons le bus qui nous déposera au départ de notre randonnée. Nous attaquons directement par des marches. Nous n’avons pas fait 100 mètres que le cardio est au max, il pleut, les marches irrégulières sont super glissantes et la tête de Charlotte montre de l’inquiétude. Nous marcherons une grande partie de la journée dans des décors de jungle sauvage, avec des plantes tropicales, des cascades rugissantes. 

Il pleut très souvent, le terrain est super dangereux dû aux marches de pierre, qui déjà par leurs irrégularités nous fatiguent, demandent beaucoup de concentration et sont super glissantes. Et pour couronner le tout, nous sommes envahis de sangsues, qui nous obligent à faire de multiples arrêts pour les arracher de notre peau. 

L’arrivée chez l’habitant qui va nous héberger pour cette nuit est un soulagement. Nous nous empressons d’enlever les sangsues, une fois retiré, nous saignons abondamment, car elles produisent des anticoagulants puissants dans leur salive. Pour ne rien arranger, nous sommes trempés à l’extérieur du K way par la pluie et à l’intérieur par là sueur. Nous nous installons dans notre chambre austère. Douche froide dans le noir, soupe et une plâtrée de riz et à 19:30 coucher. Après une chasse aux moustiques à la frontale, nous nous écroulons. 

2 et 3 jour de ranonnée.

Six heures, il a flotté toute la nuit. Nous faisons le point avec le guide. Nous éviterons un maximum les marches et les sangsues. Mais la contrepartie, nous ne pourrons pas faire tout notre programme, mais qu’à cela ne tienne, nous sommes là pour nous faire plaisir, nous n’avons rien à prouver. Résultat, la journée sera empiété de plusieurs kilomètres. 

Nous marcherons jusqu’à notre deuxième hébergement, une maison traditionnelle népalaise, deux lits dans une remise dont un sans matelas, remise qui nous permettra de faire une retraite spirituelle toute l’après-midi, sans wifi. À 19 heures, sous une ampoule scintillante, nous dégustons le fameux dal bhat, plat traditionnel et emblématique au Népal. Cela aurait été délicieux si ce n’était que le deuxième de la journée. Comme dirait Charlotte, pissette, couchette. Deuxième nuit de m…. . Il est tombé des cordes toute la nuit, les tôles de notre remise ont fait un boucan infernal. 

6 heures, je commence à maudire mon téléphone de son anti-vacance qu’il déverse bruyamment tous les matins. Après un œuf dur et une crêpe, nous partons sous une pluie battante, pluie qui ne nous quittera pas de la journée. Nous traverserons des rizières magnifiques, un pont suspendu si cher au décor des randonnées népalaises. Nos chaussures pleines de boue, nous déposerons au fond de la vallée. C’est avec soulagement que trempé et fourbu nous prendrons un taxi qui nous ramera à notre hôtel. 

C’est avec inquiétude que nous constaterons les dégâts des manifestations du peuple Népalais contre leur gouvernement, hôtels, magasins, locaux du gouvernement ont été incendié, tous ce qui représente ou appartient aux membres du gouvernement en ont subit leurs colère. Nous retrouvons Pokhara sous un couvre-feu, résultat tous les magasins fermés et quelques touristes qui déambule. Nous appelons notre hôtel de Katmandou qui nous déconseille de revenir et de rester à Pokhara. Dans l’espérance que tout cela se calme. Qui vivra, verra.

Enfin un rayon de soleil.

Enfin un rayon de soleil.

Il y a toujours une FIN.

Ma fille.

Ma fille.

Les nuages sont passés, il y a eu la pluie, le soleil a donné de c'est nouvelle, alors nous avons repris notre chemin, il faut dire que le Népal, vient de vivre des heures sombres. Pendant que nous étions perdus dans nos montagnes, là en bas dans la vallée, le peuple se révoltait, mettant à feu et à sang tout ce qui représentait le gouvernement. Les conséquences pour nous furent un changement de programme et un blocage à Pokhara, la rue principale était parsemée de magasins, de bureaux et d’hôtels de standing incendiés.

Alors, au milieu de ce chaos, des couvre-feux, de ces camions militaires, de ces coups de sifflets nous demandant de rentrer et de cette nuit où nous avons longé les murs pour ne pas que l’armée ne nous voient, nous ferons profile bas dans notre petit hôtel en attendant que le calme revienne. Le plus difficile, c'est de ne pas dramatiser la situation, malgré le bordel autour de nous, malgré les incertitudes, l’inquiétude des gens. Pour la dernière nuit, nous prendrons un bel hôtel parce que le soleil brille et dans la lumière, il y a de l’espoir.

La situation a fini par se débloquer, nous avons pu trouver un avion, non sans mal, pour nous déposer à Kathmandou .


Kathmandou, nous prenons nos quartiers près de l’aéroport en toute éventualité si des blocages de la ville nous empêchaient de l’atteindre, après quelques renseignements, nous pouvons profiter de notre dernière journée, nous la consacrerons à la visite de Patan, ancienne ville royale, autrefois capital, cette dernière visite à un air d’aurevoir. Dans notre taxi qui nous trimballe sur les chemins de la ville, nous constaterons les dégradations de cette révolution qui nous l’espérons réglera les injustices de ce pays.

Nous sommes bien revenus à Kathmandou, nous retrouvons le bruit et cet immense bordel dans les rues. Après les derniers achats, nous retournons à notre hôtel, car la nuit va être courte, l’avion qui va rassurer nos proches est à 7:30 donc debout 4 heures. 

Épilogue : 

Alors ma belle, ma fille, je t’ai encore emmené loin de ta zone de confort, je t’ai bousculé, il y a eu des soupirs, des sourires, des mots fatigués, des mots qui dérangent, des combats et des différences, mais après les silences il y a eu des souvenirs rien que pour nous, j’y ai appris sur toi sur moi, ce voyage fut d’abord pour moi un voyage à travers toi, le chemin fut difficile, mais j’y ai trouvé un chemin, il ne me reste que l’espoir qu’un jour il y aura plus des « maux »mais des regards complices. Ne me dis rien, laisse-moi rêver, ce sont eux qui m'ont amenés jusque-là, jusqu’à toi, ma fille. 

Ce fut un très beau voyage, sur les chemins, tu m’as donné du soleil dans tes sourires, j’y ai vu le paradis quand tu m’as offert ta lumière, à travers la pluie, j'y ai vu une jeune fille brillante et je doute qu'elle y ait vu ma fierté. 

Alors avant d’éteindre mes lignes, de retomber dans nos silences, il n’y qu’une certitude, je t’aime ma fille.

Philippe Claux
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